tous les jours si elle le pouvait, mais elle veut un peu de changement, mais rien ne lui saute aux yeux. De toute façon, il n’y a que cela qui l’intéresse dans le menu donc elle va prendre comme d’habitude, en posant la carte sur le coin de la tête, elle relève sa tête, elle remarque qu’il la regarde d’un petit air narquois, elle déteste ce regard poser sur elle. Elle sent l’adrénaline monter en elle, il va surement dire quelque chose de désagréable, elle redoute le pire : « et un garçon te plaît à l'école ? » La question qui ne faut absolument pas qu’il pose, elle cache son visage à l’aide de ses petites main, elle rougit de honte jusqu’aux oreilles, elle sait très que personne ne s’intéresse à elle et que aucun garçon lui a fait de l’effet, soient ils sont trop vieux et pervers sur les bords, soit trop gamins et qu’ils ne savent pas ce qu’ils veulent. Elle ne veut pas perdre son temps, un jour peut-être, elle trouvera l’homme qui lui convient : « Hum, non, je n’ai pas encore trouvé l’homme parfait qui correspond a mes attentes, et toi de ton coté ? » Si seulement son esprit était un homme d’une beauté fatal et qui la traite comme une reine, elle serait déjà débarrasser de sa question, mais son petit compagnon est une belle petite créature toute mignonne, mais c’est obligatoire de lui retourne dans son sens, elle veut savoir tous les petits détails croustillant de sa vie sentimental. C’est vrai qu’elle ne lui en parle pas beaucoup et lui non plus d’ailleurs, ce n’est pas le genre de sujet qu’on aborde souvent. Le vieil homme fait de nouveau son apparition dans la pièce, il est vêtu de son informe de cuisinier classique, il prend un petit carnet qui traine sur le comptoir et vient près d’eux, il vient vers eux en souriant de toute ses dents et semble être prêt de prendre nos commandes, elle a tellement faim qu’elle pourrait manger la main de son ami, mais cette idée est vraiment déplacer.